« Les seize carmélites avaient été béatifiées en 1906 par le pape Pie X. Quant au fondateur de l’importante communauté charismatique de l’Emmanuel, le Français Pierre Goursat, mort en 1991, il est proclamé «vénérable», première marche avant la béatification » - Le pape proclame saintes les carmélites de Compiègne guillotinées en 1794 et «vénérable» le fondateur de la communauté de l’Emmanuel. (Le Figaro avec AFP)
« Le cardinal François-Xavier Bustillo accueillera, à 15h30, le pape François pour une messe à Ajaccio. Un véritable tour de force pour ce jeune évêque, alors qu’aucun souverain pontife ne s’est jamais déplacé sur l’île de beauté. » - Qui est le cardinal Bustillo, à qui la Corse doit la venue du pape ? (Clotilde Jégousse et Jeanne Durieux avec Jean-Marie Guénois, Le Figaro)
« Le pape François se rend à Ajaccio, le 15 décembre, pour participer à un colloque sur la « religiosité populaire ». La chercheuse Angelina Antonetti, qui participe à l’événement, décode une piété corse foisonnante, vivante et teintée de politique, qui a su opérer un mélange entre catholicisme et traditions ancestrales, parfois en opposition à l’Eglise. » - « L’Eglise a dénigré pendant des siècles cette religiosité corse, subtil mélange de sacré et de profane, à laquelle le pape s’intéresse aujourd’hui » (Gaétan Supertino, Le Monde des Religions)
« La tempête Darragh n’a pas empêché les 2 400 personnes attendues d’assister à la cérémonie d’ouverture de Notre-Dame de Paris, samedi 7 décembre. Le chef de l’Etat a prononcé un bref discours devant un parterre de mécènes, de chefs d’Etat et de ministres démissionnaires. » - Notre-Dame de Paris : au cœur d’une tempête politique et météorologique, Emmanuel Macron a célébré la France des bâtisseurs (Laurent Carpentier, Claire Gatinois, Arthur Carpentier, Hélène Bekmezian, Roxana Azimi et Robin Richardot, Le Monde)
« Certains enfants restent attachés plus longtemps que d’autres au grand saint. Ce qui inquiète souvent leurs parents. » - Jusqu’à quel âge faut-il laisser les enfants croire à saint Nicolas ? (Mathieu Colinet, Le Soir)
« Mancherorts, gerade im süddeutschen Raum, gibt es sogenannte Nikolausgilden. Sie haben sich auf die Fahne geschrieben, den Heiligen in Ehren zu halten und seine Botschaft weiterzutragen – einst auch gegen Fehlentwicklungen des Brauchs um ihn. Eine ist im oberschwäbischen Bad Saulgau beheimatet » - Der Brauch im richtigen Licht: Eine Nikolausgilde und ihre Mission (Matthias Altmann, katholisch.de)
“After Justin Welby’s resignation and the John Smyth abuse scandal, critics say a reckoning can no longer be avoided” - The Church of England is beset by shame and division. Can it survive? (Andrew Anthony, The Guardian)
“It’s difficult to face the fact that those who call themselves Christian can abuse, and hard to believe anyone thought silence was the right response” - Cover-up of child abuse in Church of England tried to ‘protect the work’ of twisted theology (Helen King, The Guardian)
« En parfait miroir de la société, le monde du football est secoué par la montée de l’antisémitisme. Histoire d’une dérive » - Antisémitisme : dans les stades, la fin du « tous ensemble » (Saïd Mahrane, Le Point)
« Le chef spirituel des anglicans, Justin Welby, a annoncé mardi sa démission, après la publication d'un rapport accusant l'Eglise d'Angleterre d'avoir camouflé un scandale d'agressions physiques et sexuelles commises par un avocat lié à l'institution religieuse. » - Eclaboussé par un scandale, le chef de l'Eglise anglicane Justin Welby annonce sa démission (La Libre Belgique avec AFP)
« Archevêque de Canterbury depuis 12 ans, et à ce titre à la tête de la Communion anglicane, Justin Welby a reçu « La Vie » pour évoquer son ministère, sa vision de l’œcuménisme et les enjeux de l’anglicanisme en Grande-Bretagne et dans le monde. » - Justin Welby : « L'unité de l'Église n'est pas l'unanimité » (Pierre Jova et Aymeric Christensen, La Vie)
Dans toutes les régions du monde, l’actualité regorge de célébrations, hommages et commémorations de martyr·es de la foi ou de grandes causes politiques. Le président américain Donald Trump, le chef du Hamas Yahya Sinouar, l’ancien député du parti flamand d’extrême droite Vlaams Belang Dries Van Langenhove, le professeur français décapité Samuel Paty ou encore l’Afro-Américain victime de violences policières Georges Floyd font sans distinction la Une des journaux en étant qualifiés de martyrs. Morts ou vivants, conscients ou pas d’accomplir un acte héroïque, tous ces hommes voient les violences qu’ils ont subies sublimées. Ils deviennent des modèles. Sauf ce dernier aspect, leur trajectoire comporte-t-elle des invariants ? Quelle place la dimension religieuse ou sacrée y tient-elle ? L’historien Pierre-M. Delpu vient de consacrer un livre à ces questions. Cécile Vanderpelen-Diagre en discute avec lui.
« Le candidat à l’élection présidentielle américaine multiplie les déclarations dans lesquelles ses compatriotes juifs sont accusés de manquer de « loyauté » envers Israël comme envers le camp républicain. » - Pour Donald Trump, « les chrétiens aiment Israël plus que les juifs » (Jean-Pierre Filiu, Le Monde)