« Mehdi Nemmouche face aux ex-otages : tous reconnaissent sa voix et racontent dix mois de calvaire. » - À Paris, le procès des hommes masqués de l'État islamique : la voix de Mehdi Nemmouche "est au fond de mes tripes" (Christophe Lamfalussy, La Libre Belgique)
« Le ministre de l’intérieur s’est notamment engagé à « accompagner plus dignement encore les victimes de faits antimusulmans » et à rencontrer les représentants des fédérations bancaires sur la question du financement des associations cultuelles. » - Bruno Retailleau promet des avancées aux musulmans au Forum de l’islam de France (Sarah Belouezzane, Le Monde)
« Le premier ministre rencontre le collectif des victimes ce 15 février, après avoir été accusé par la gauche d’avoir menti sur ses connaissances des faits de violences sexuelles et physiques qui auraient été commis dans l’institution catholique en 1996. » - Affaire Bétharram : les huit «attentes» du collectif des victimes lors de sa rencontre avec François Bayrou ce samedi (Clara Hidalgo et Caroline Beyer, Le Figaro)
« Le 14 février, les couples du monde entier célèbrent la Saint-Valentin. Le patron des amoureux serait un martyr chrétien mais différentes versions existent concernant sa vie. » - Qui est saint Valentin et pourquoi est-il le patron des amoureux ? (Laurence Desjoyaux, La Vie)
« Comme chaque année à la même date, le 14 février 2025 sera l’occasion de célébrer la Saint-Valentin. Les origines de cette fête de l’amour, qui date au moins de l’époque médiévale, restent obscures, de même que l’identité du martyr romain honoré par l’Église à cette date. » - Saint Valentin, mystérieux martyr romain devenu symbole de l’amour (Léo Durin, La Croix)
« Rififi entre le Vatican et la Maison Blanche. » - Vivement critiqué par le pape, Donald Trump lui répond: "Il a un mur autour du Vatican, n'est-ce pas?" (La Libre Belgique avec AFP)
« Le 22 janvier 2025, l’évêque épiscopalienne Mariann Budde prononçait devant Donald Trump un sermon l’appelant à la « miséricorde » envers les personnes LGBT+ et les migrants, provoquant l’ire du président américain. Pour le théologien Dennis Doyle, cette intervention courageuse ne suffira pas à enrayer l’effacement de la religion derrière la politique. » - « Aux États-Unis, la religion a en quelque sorte été vaincue par la politique » (Dennis Doyle, La Croix)
« Si le Christ invite les dirigeants à veiller sur ceux qu'ils gouvernent, il n'a jamais enjoint de le faire en niant une dignité à l'étranger, à l'immigré, au sans-papiers,… » - Mais qui est mon prochain? Quand le vieux monde répond au nouveau Vice-Président des États-Unis James D. Vance (Éric de Beukelaer, La Libre Belgique)
« Les démissions de l’archevêque de Canterbury et de l’évêque de Liverpool sur fond de scandale ont mis en lumière une crise historique. Profondément divisée entre progressistes et conservateurs, l’Église anglicane semble plus affaiblie que jamais. » - Scandales sexuels, crise des vocations, chute des pratiquants : l’Église d’Angleterre dans la tourmente (Arnaud De La Grange, Le Figaro)
« Chef de cette branche minoritaire du chiisme et philanthrope à la fortune colossale, Karim Al-Hussaini, l’Aga Khan, est mort mardi à Lisbonne, à 88 ans. Il laisse en héritage une gigantesque fondation philanthropique, mais aussi la vision d’un islam ouvert et ésotérique. » - La mort du quatrième Aga Khan, guide spirituel des ismaéliens nizârites et milliardaire atypique (Gaétan Supertino, Le Monde des Religions)
« Antoni Lallican s’est rendu à Palmyre. En plein cœur du désert syrien, il a photographié la célèbre cité antique, qui porte les stigmates de plus d’une décennie de guerre. Depuis la chute du régime de Bachar Al-Assad, en décembre, les membres de HTC tentent de préserver la ville d’une résurgence de l’EI. » - Syrie : à Palmyre, les membres de HTC veillent à préserver la ville et le site antique de la menace de l’organisation Etat islamique (Audrey Delaporte, Benjamin Barthe et Antoni Lallican, Le Monde)
Le discours d’investiture du nouveau président américain Donald Trump a défrayé la chronique ces deux dernières semaines. Un des nombreux aspects commentés concerne l’image de soi qu’il a présentée, celle d’un homme sauvé par Dieu pour rendre sa grandeur à l’Amérique. Cette énième déclaration mérite que l’on s’attarde sur les liens entretenus par le 47e président des États-Unis avec la religion. Durant toute la campagne électorale, il s’est en effet présenté comme le porte-parole d’un peuple de Dieu menacé par les forces du mal impies. Les slogans « Jesus is my Savior, Trump is my President », « Made Amercia Godly Again », « God, Guns & Trump » ont fleuri sur casquettes et T-shirts, laissant penser que le « retour du religieux » était définitivement advenu. La linguiste Emmanuelle Danblon et l’historienne Cécile Vanderpelen-Diagre analysent ce phénomène.