« Citoyenneté, Religion, Enseignement moral et civique » — Histoire de la laïcité en France (Capsule réalisée à partir d’un texte original de John Tolan, Professeur d’histoire médiévale à l’Université de Nantes, CRHIA, directeur du programme de recheche ERC ‘EuQu-The European Qur’an’, LIPE-Europe.eu)
« Karima Bennoune, rapporteuse spéciale des Nations unies, raconte son combat parfois solitaire pour défendre la laïcité auprès des instances internationales » — « Ceux qui bénéficient de la laïcité ne la défendent pas » (Clément Pétreault, Le Point)
« In reflections written during lockdown, the pontiff adds his weight to a growing group of people seeking a return to community-minded values » — Let Us Dream by Pope Francis review – the holy father of fraternity (Julian Coman, The Guardian)
« Vendredi dernier, les autorités politiques belges ont amorcé l’aube d’un déconfinement pour le pays. Mais aucune mesure d’assouplissement n’a été annoncée pour les cultes. De plus en plus de chrétiens commencent à rouspéter. Pour l’heure, surtout sur les réseaux sociaux… » — Interdiction des cultes : la grogne des fidèles (Vincent Delcorps, Cathobel)
« Emmanuel Macron a publié lundi soir dans le prestigieux quotidien britannique Financial Times une tribune pour expliquer que ‘la France se bat contre le séparatisme islamiste, jamais contre l'islam’, en réponse à un article paru lundi mais retiré du site depuis » — "La France ne se bat pas contre l'islam", répond Macron au Financial Times (AFP, La Libre Belgique)
« Après une interview à Al-Jazeera la semaine dernière, le chef de l'État a publié une lettre dans les colonnes du quotidien britannique, en réponse à un article paru lundi, mais retiré depuis du site Internet du journal » — «La France ne se bat pas contre l'islam», répond Macron au Financial Times (Le Figaro avec AFP)
« Le Premier ministre pakistanais Imran Khan a accusé dimanche Emmanuel Macron d'’attaquer l'Islam’, le président français ayant défendu la publication de caricatures du prophète Mahomet après la décapitation la semaine dernière d'un professeur qui en avait montré certaines à ses élèves » — Emmanuel Macron accusé d'’attaquer l'Islam’ après avoir défendu les caricatures de Mahomet (AFP, La Libre Belgique)
« Pakistan's Prime Minister Imran Khan has written a letter to Mark Zuckerberg, CEO of Facebook, asking him to put a ban on Islamophobic content » — Pakistan's PM asks Facebook to ban Islamophobic content (BBC)
Les amateurs et amatrices de jeux vidéo se réjouiront peut-être de la sortie prochaine de Pope simulator, lancé par le studio polonais Majda Games. Ils et elles auront ainsi l’occasion d’incarner le successeur de Pierre, de «prendre les rênes de la plus grande institution religieuse du monde», dans le but d’utiliser leur «influence pour changer le destin de l’humanité». Alors qu’il n’est pas encore sorti, le jeu suscite déjà des aigreurs, des ricanements et des critiques de la part de certain·es catholiques outré·es que l’on puisse confondre une fonction sacrée et n’importe quel métier profane, ou que l’on puisse «gagner» des points en «pratiquant» sa religion sur écran. Ces réactions sont assez typiques : il n’est pas facile de créer un jeu vidéo religieux. Les développeurs se heurtent tantôt aux normes défendues par les croyant·es, tantôt aux règles d’une entreprise médiatique et culturelle aux exigences esthétiques et technologiques très pointues et dispendieuses.
Le monde entier espère que les chercheur·euses trouvent au plus vite le vaccin contre la COVID-19, moyen le plus efficace d’enrayer la crise sanitaire, sociale et économique que nous traversons. Ce vent d’espoir est, pour certains religieux, porté par l’espérance que Dieu pourrait intervenir pour accélérer la découverte. Pour d’autres croyants, le vaccin médical ne soigne de toute façon que les corps, seul compte le vaccin « spirituel ». Pour d’autres encore, cette maladie planétaire est le signe d’une malédiction divine, un châtiment. Vouloir s’en prémunir, c’est s’opposer au dessein divin. Les croyant·es ont donc des opinions très différentes sur le droit et la légitimité de pratiquer la vaccination. Ce n’est pas neuf.
« Le mois de juin est le mois des ordinations sacerdotales. Cette année, la Conférence des évêques de France annonce que 99 prêtres seront ordonnés (82 diocésains et 17 issus d’une communauté non religieuse ou d’une société de vie apostolique) auxquels s’ajoutent 21 ordinations de religieux, ainsi que celles de 5 prêtres célébrant selon la forme extraordinaire du rite romain » — Religion. La France compte 125 nouveaux prêtres en 2020, un chiffre stable (Ouest France)
« La Conférence des évêques de France (CEF) a publié ce lundi les chiffres relatifs aux ordinations de prêtres pour l’année 2020. Comme chaque année, elles se déroulent en grande partie aux alentours du 29 juin, solennité des saints apôtres Pierre et Paul, et cette fois-ci dans les conditions particulières liées à la pandémie de Covid-19 » — 126 nouveaux prêtres ordonnés en France en 2020 (Vatican News)
« Après le temps de l’œcuménisme contre le virus, l’Eglise a fait de la réouverture des lieux de culte un casus belli avec l’Etat. Sauf qu’au lieu d’arguments théologiques, elle emploie une logique d’association de défense. Analyse du grand politiste » — Le croyant est-il un consommateur comme un autre ? (par Olivier Roy, L’Obs)
« Modern life is ugly, brutal and barren. Maybe you should try a Latin mass » — Christianity Gets Weird (Tara Isabella Burton, The New York Times)
« Le pape François a quitté le Vatican dimanche après-midi pour aller prier dans une basilique de Rome, a annoncé le Saint-Siège » — Malgré le virus, le pape est sorti du Vatican pour prier dans une basilique de Rome (AFP, La Libre Belgique)
« Depuis qu’il est devenu pape, le 13 mars 2013, le pape François a lancé une nouvelle façon d’impliquer la diplomatie vaticane sur la scène internationale. Les points forts de cette nouvelle approche sont bien détaillés dans les actes d’un colloque louvaniste sur la « géopolitique du pape François » — La géopolitique du pape François (Cathobel)
« Le pape François a accepté le 6 mars 2020 la démission du cardinal Philippe Barbarin de sa charge d’archevêque de Lyon » — Le pape François accepte la démission du cardinal Barbarin (cath.ch, Cathobel)
« Philippe Barbarin n’est plus archevêque de Lyon. Après quatre années mouvementées sur le plan judiciaire, qui se sont soldées le 30 janvier dernier par son acquittement en appel, le cardinal avait ‘remis sa charge aux mains du pape’. Et François vient d’accepter sa démission, a indiqué le Vatican vendredi 6 mars » — Démission du cardinal Barbarin : le “choix pastoral” du pape (Sophie Lebrun, La Vie)