Le Rapporteur spécial de l'ONU sur la liberté du culte, Heiner Bielefeldt, a déclaré mardi que « les religions officielles d'Etats ne devraient jamais être instrumentalisées dans le cadre d'une politique identitaire nationale — Un expert de l'ONU avertit contre l'instrumentalisation des religions d'Etat (Centre d’actualités de l’ONU)
« Decir que el aborto es violencia estructural suena mejor que hablar de moral cristiana o patriarcado » — Violencia estructural (Pilar Rahola, La Vanguardia)
L’académicien Félicien Marceau, de son vrai nom Louis Carette, est mort à Paris ce mercredi 7 mars. La presse se fait l’écho de sa brillante carrière d’auteur de romans et de pièces de théâtre. Les journalistes les plus avisés rappellent qu’il fut condamné par contumace à la déchéance civile et à 15 ans de travaux forcés par l’État belge, à la Libération, pour avoir réalisé, en tant que directeur du département « Actualités » à Radio-Bruxelles (aux mains de l’occupant), des émissions aux propos ambigus. Cependant, lorsque son parcours est retracé, son engagement dans le personnalisme chrétien n’est jamais évoqué. Pourtant, non seulement il fut l’un des principaux animateurs de ce mouvement en Belgique, mais cette implication permet de mieux comprendre ses prises de position.
"Face aux républicains, elles militent contre le durcissement de la loi sur la contraception et l'avortement" - Les féministes américaines en campagne (Adèle Smith, Le Figaro)
"A force d'essayer de perdre les élections, ils vont finir par y arriver... Voilà maintenant les républicains en guerre contre une partie non négligeable de leur électorat : les femmes. Après la guerre contre la science, les impôts, l'assurance-santé, le mariage gay..., ces messieurs ont lancé une offensive anti-contraception" - Aux Etats-Unis, la revanche des "salopes" contre les républicains (Corine Lesnes, Le Monde)
"Une conférence-bilan sur les tâches de la gestion publique des religions en 2011 a eu lieu le 28 février à Hanoi, sous la présidence du vice-Premier ministre Nguyên Xuân Phuc" - Conférence-bilan sur la gestion publique des religions (AVI/CVN, Le Courrier du Vietnam)
"Dans le Tennessee, comme ailleurs dans le pays, les électeurs ont plébiscité Rick Santorum "parce qu'il défend la liberté religieuse", qu'il "soutient la famille" et "qu'il ne défend pas simplement nos valeurs, il les incarne", disent ses partisans" - Rick Santorum "ne fait pas que défendre nos valeurs, il les incarne" (AFP, La Libre Belgique)
En Wallonie, la question de la réaffectation des églises est actuellement débattue au Parlement, à l’initiative de deux députés socialistes. Ceux-ci ont déposé une proposition visant à réaliser un cadastre des biens classés affectés à l’exercice d’un culte, première étape vers une désacralisation et une réaffectation de certains d’entre eux. Cette désacralisation est considérée comme nécessaire vu l’importance du coût de l’entretien d’édifices dont la fréquentation ne cesse de baisser. La chef du groupe PS Isabelle Simonis et le député Daniel Senesael ont déposé une proposition de décret « en vue de réaliser un cadastre des monuments classés affectés à l'exercice d'un culte ». Selon la députée, le projet est justifié par le coût élevé des travaux réalisés sur ces édifices : pour l'année 2012, sur un budget de restauration du patrimoine classé de 38 millions d'euro, 5 millions seraient exclusivement consacrés à la restauration des édifices classés ouverts au culte.
Il y a désormais 25 ans que la République socialiste du Vietnam a proclamé son entrée dans l’ère du đổi mới, ce lorsqu’au cours de son VIè Congrès (1986), le Parti communiste du Vietnam (PCV) a entériné le choix d’instaurer une politique de renouveau. Un quart de siècle donc que la voie de la modernisation et de l’intégration internationale suit la forme originale d’une « économie de marché à orientation socialiste », pas si éloignée de « l’économie socialiste de marché » chinoise, mais pas identique pour autant. Comme toujours lorsqu’on évoque le Vietnam, la tentation est grande de se référer à l’empire du milieu, en identifiant l’un à l’autre, certes par un changement de distance focale mais sans en changer pour autant l’angle de vue. On rappelle pour cela les siècles d’histoire commune (sous formes de rapports colonial, tributaire ou égalitaire), les voisinages linguistiques et culturels, les similitudes des politiques menées, la concordance dans les transitions de l’Etat. Dans le contexte de mondialisation, la quête d’un modèle de développement qui serait propre à chacune de ces républiques socialistes est bien évidemment identique.
Au cours de la première moitié du xxe siècle, dans plusieurs états européens, la franc-maçonnerie, qui avait été une réalité très présente auparavant, a subi des persécutions tant idéologiques que politiques. Pour pouvoir reprendre la place qu’elle occupait traditionnellement dans la vie civile, cette société initiatique a dû combattre pendant le demi-siècle restant contre les faux clichés et stéréotypes issus de cette période d’hostilité. Après que l’opinion publique se soit en grande partie émancipée des thèmes mystificateurs du secret et du complot maçonniques – appartenant à une tradition antimaçonnique vieillissante et pluriséculaire, exploitée de manière répétitive – la maçonnerie ou les maçonneries nationales se sont progressivement extériorisées pour se faire connaître et pour faire savoir qu’elles n’avaient rien à cacher, sinon l’indicible du vécu initiatique. Dans la plupart des cas, elles l’ont fait en donnant vie à des musées et à des centres culturels qui, de nos jours, enrichissent les patrimoines nationaux et créent de remarquables réseaux internationaux en matière de collaboration culturelle. Au cours de l’année passée, la maçonnerie belge a été un acteur indiscuté de ces formes d’extériorisation, tant au plan national qu’international.
"Joachim Gauck, ancien pasteur luthérien issu de l’ex-RDA, a été désigné pour prendre la présidence de la République fédérale allemande" - Un ancien pasteur devient président de la République allemande (Hadrien Poussin, Le Monde des Religions. Photo : J. Patrick Fischer)
"En habile stratège politique, Recep Tayyip Erdogan, cultive savamment l'art du contre-pied. A l'occasion d'une récente intervention devant les députés, le premier ministre turc, issu de la mouvance islamiste, déclarait ainsi vouloir "former une jeunesse religieuse" en adéquation avec "les valeurs et principes de [la] nation"" - L'AKP cherche-t-il à islamiser la société turque ? (Aymeric Janier, Le Monde)
"Les talibans ont appelé jeudi à "tuer" les soldats étrangers en Afghanistan après que des exemplaires du Coran eurent été brûlés mardi dans une base militaire américaine" - Corans brûlés: les talibans appellent à "tuer" les soldats étrangers (AFP, La Libre Belgique)
"La loi les encourageant à effectuer un service militaire ou civil est abandonnée. Mais les laïques ne veulent pas en rester là" - Israël revoit les devoirs des ultraorthodoxes (Marc Henry, Le Figaro)
"Rt Rev Vincent Nichols, the Archbishop of Westminster, says he doesn't think Christians should use that term" - Catholic Church leader rejects claim UK Christians are persecuted (Andrew Brown, The Guardian)
Depuis la libération d’Aung San Suu Kyi, figure de l’opposition, le rythme des réformes s’accélère en Birmanie. « La Croix » est allé à la rencontre des habitants de ce pays aux dizaines de milliers de pagodes et aux 500 000 moines - En Birmanie, 500 000 moines et un bouddhisme fervent (Paula Boyer, La Croix)
"Alors que le nouvel an tibétain devait être fêté mercredi 22 février, le gouvernement en exil et les Tibétains en Chine ont décidé d’y renoncer à cause de la répression" - Sofia Stril-Rever : « Tout le Tibet est en deuil » (Claire Lesegretain, La Croix)
"Les Amis de Sainte Catherine n'abandonnent pas la bataille pour la préservation du caractère religieux de cette église pour laquelle la Ville de Bruxelles prévoit une réaffectation en une halle commerciale de fruits et légumes" - 7.800 signatures contre la désacralisation de l'église Sainte-Catherine (Belga, La Libre Belgique)
"Selon une information révélée par la Libre Belgique, 500 abus sexuels auraient été avoués au sein de l’Eglise et 172 dossiers auraient été ouverts" - 500 abus sexuels auraient été avoués au sein de l’Eglise (Le Soir)
"Dans l'éditorial de son édition du 22 février, le quotidien édité par le Saint-Siège a choisi d’évoquer en des termes précis l’actuel débat électoral français sur l’euthanasie" - « L’Osservatore Romano » s’invite dans la campagne électorale française (Frédéric Mounier, La Croix)
"Les congrégations religieuses investissent Internet à l’occasion du Carême" - Des retraites en ligne pour le Carême (Hugues-Olivier Dumez, La Croix)
A l’époque du clonage, où mode et par conséquent notion même de procréation évoluent considérablement, il nous est très difficile de concevoir dans leur urgence et leur nécessité les « querelles byzantines » qui, au long de l’histoire de l’empire byzantin touchèrent à des points fondamentaux de la doctrine concernant la personne et la « naissance » du Christ, et engendrèrent de multiples hérésies. Elles témoignent en fait d’une réflexion pointue sur la religion, mais mettent aussi en évidence la subjectivité de la notion d’hérésie. Ce qui fut considéré ici comme hérésie n’a-t-il pas ainsi ailleurs été reconnu comme « orthodoxie » ?
Si l’orthodoxie (« la foi droite ») se définit en général, et à Byzance en particulier, comme la conformité à des normes de foi officiellement fixées par une Eglise, l’hétérodoxie, son contraire (« la foi autre », la fausse foi), désigne la divergence, l’écart par rapport à ces normes. L’hétérodoxie se traduit concrètement en hérésie, mauvais « choix », opinions et pratiques déviantes.
Le contenu de la foi orthodoxe se précise et s’édicte progressivement, en territoire byzantin, au fil des conciles. Chacun de ces conciles est appelé et justifié par la volonté d’éradiquer des déviances perçues comme dangereuses pour la « vraie » foi.
La première hérésie christologique, l’arianisme, prend corps au tout début du IVe siècle, avant même la naissance de l’empire byzantin (330). Elle se résume simplement : Dieu est-il un ou trois ? L’évêque Arius oppose Dieu le Père au Fils, le Christ : le Fils ne peut être identifié au Père puisqu’il en est une émanation, il a été créé par lui. Par conséquent il n’est pas de la même essence divine que lui. En outre pour Arius l’Esprit Saint émane du Fils, comme le Fils du Père. Le premier concile œcuménique, le concile de Nicée, en 325, affirme la consubstantialité du Père et du Fils et donc la totale divinité du Fils. Mais il ne se prononce pas sur la question de la Trinité divine. Elle reste en suspens.
L’apollinarianisme, dans la seconde moitié du IVe siècle, est la conséquence directe de l’affirmation de la consubstantialité Père / Fils. L’évêque Apollinarius s’interroge sur la jonction, possible ou non, de la divinité et de l’humanité dans le Christ. Selon lui, il n’y a qu’une seule personne, divine, dans le Christ, même s’il s’est incarné dans un corps humain. En réaction à cette hérésie, le second concile œcuménique, tenu à Constantinople en 381 sous l’empereur Théodose I, affirme la consubstantialité de la Trinité divine, Père, Fils, Esprit Saint. Le Père engendre le Fils, du Père procède l’Esprit Saint. Le concile affirme aussi la présence et la non-confusion dans une seule personne du Christ des deux essences, divine et humaine.
Cette affirmation appelle la naissance et le développement de l’hérésie suivante, le nestorianisme.
Au cours du premier tiers du Ve siècle Nestorius, évêque de Constantinople, pousse à son point d’aboutissement la distinction entre les deux essences du Christ : leur dissemblance les empêche de s’unir dans une même personne. Aussi Nestorius substitue-t-il à la notion d’essence celle de personne. Pour lui il s’agit non de l’union de deux essences en une personne, mais de l’union de deux personnes, divine et humaine, en une seule. Cette théorie implique une individualisation de la personne humaine dans le Christ, en contradiction avec le dogme officiel selon lequel le Christ incarne la quintessence de l’humanité. Nestorius conteste aussi la dénomination de la Vierge Marie comme Theotokos, « mère de Dieu », qui à ses yeux la déifie alors qu’en fait elle a seulement transmis son humanité au Christ. Le concile d’Ephèse, troisième concile œcuménique, réuni en 431 sous Théodose II, rectifie les affirmations déviantes de Nestorius. Mais ses conclusions ne suffisent pas à éradiquer le nestorianisme. Il faudra dans ce but réunir au siècle suivant le cinquième concile œcuménique, tenu à Constantinople en 553 sous l’empereur Justinien.
Prenant le relais du nestorianisme, le monophysisme privilégie la thèse d’une unique nature du Christ après l’Incarnation, dont le corollaire est la contamination de la nature divine par la nature humaine via le transfert de sa capacité à souffrir, donc à être modifiée dans son état. Ce résultat est incompatible avec le postulat de stabilité, d’immuabilité qui caractérise la nature divine. En 451, sous l’empereur Marcien, le concile de Chalcédoine, quatrième concile œcuménique, réfute alors le monophysisme.
Malgré leur condamnation officielle, les monophysites n’ont pas disparu. Ils ont fondé ensuite en particulier l’Eglise copte d’Egypte, et en Syrie l’Eglise jacobite. Ces deux Eglises sont donc nées d’une hérésie. Hérésie pour les uns, orthodoxie pour les autres : on touche aux limites de la notion d’hérésie. Elle paraît bien fluctuante.
Dans le sillage du monophysisme se sont aussi développées deux hérésies mineures : le monothélisme (une seule nature et une seule volonté, divine, dans le Christ) et le monoénergisme. (une seule puissance d’action commune aux deux natures du Christ). Ces deux hérésies sont condamnées en 681, sous Constantin IV, par le concile de Constantinople, sixième concile œcuménique.
Avec l’iconoclasme s’ouvre en matière d’hétérodoxie à Byzance une seconde période, caractérisée par l’imbrication étroite du politique et du religieux. La question de la représentation du Christ se trouve au fondement de cette nouvelle hérésie, qu’une décision impériale fait naître : en 730, l’interdiction subite par l’empereur Léon III non pas des images religieuses – représentation du Christ, de la Vierge Marie et des saints – mais du culte rendu à ces images sous forme de prosternations et de baisers, considérés désormais comme autant de manifestations d’idolâtrie.
En 754, Constantin V aggrave l’interdiction de Léon III. Partant de l’affirmation qu’il est impossible de représenter le Christ à cause de la part divine qui est en lui, à la fois il élargit l’interdiction de culte formulée par Léon III à celle de production des images, et l’interdiction de représenter le Christ à celle de l’ensemble des figures religieuses. Il ordonne par conséquent la destruction de toutes les images religieuses existantes. L’iconoclasme, devenu doctrine officielle de l’empire, a par là-même acquis le statut de doctrine « orthodoxe » et l’iconodoulie, jusqu’à 730 intégrée dans les pratiques courantes et acceptées de la foi, se trouve rejetée comme une hérésie. S’ensuit une politique de répression extrêmement cruelle contre les iconodoules, qui ne prend fin qu’avec l’avènement de Léon IV (775), beaucoup plus modéré dans la défense de l’iconoclasme.
La régence de l’impératrice Irène marque le retour à l’iconodoulie. Irène réunit en 787 à Nicée le septième et dernier concile œcuménique qui rétablit le culte des images religieuses, et permet à cette fin de relancer leur production. Pendant plus d’un quart de siècle l’iconodoulie demeure la position officiellement adoptée par l’empire.
A partir de 815, Léon V, se situant dans la même perspective d’analyse politique que Léon III en imputant à l’iconodoulie considérée comme une démarche idolâtre les échecs militaires subis tout au long du tiers de siècle précédent, réinstaure l’iconoclasme. Ses successeurs Michel II et Théophile entérinent ce choix. La mort de Théophile en 842 entraîne la fin de l’iconoclasme.
A travers des siècles d’histoire marqués de conflits religieux souvent sanglants émerge un constat, celui de la fragilité de son contenu quand il s’agit d’appréhender le concept d’hétérodoxie. Les normes mêmes à partir desquelles on le définit peuvent se voir soumises à variabilité. L’hérésie peut être arbitrairement décrétée comme telle dans et par un système de pensée « unique », exclusive. L’exemple de l’iconoclasme, à la frontière de l’hérésie, à la croisée de l’orthodoxie et de l’hétérodoxie, le montre tout particulièrement.
Florence Meunier (Université Paris IV-Sorbonne et ULB).
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"FOCUS - Après la polémique sur les abattoirs lancée par Marine Le Pen, lefigaro.fr revient sur ce principe religieux qui ne dispose pas encore d'un label unique en France" - Le halal, un rite en quête de norme (Le Figaro)
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"Le candidat PS souhaite que les femmes célibataires et homosexuelles accèdent à l'aide médicale à la procréation, alors que ces techniques sont aujourd'hui réservées aux couples hétérosexuels infertiles. François Bayrou, le candidat du MoDem, y est également favorable, tandis que dans un entretien accordé à l’hebdomadaire médical Le Généraliste le 11 janvier dernier, Nicolas Sarkozy s’est engagé à ne pas toucher le cadre législatif en vigueur. Rencontre avec Séverine Mathieu, chercheure au Groupe Sociétés, Religions, Laïcités dont le mémoire d’habilitation à diriger des recherches : L’enfant des possibles : Assistance médicale à la procréation, éthique, religion et filiationsera édité l'année prochaine aux éditions de l'Atelier" - Assistance médicale à la procréation, éthique, religion et filiation (Lola Petit, Le Monde des Religions)
"Des prêtres et des laïcs estiment que les sommes investies dans les travaux de certaines églises pourraient être mieux utilisées" - La légitimité des chantiers d’Eglise remise en cause par la crise (Loup Besmond de Senneville, La Croix)
"Célébrant le consistoirepour la création de 22 nouveaux cardinaux le 18 février 2012 au Vatican, le pape a appelé tous les membres du collège cardinalice à « servir l’Eglise avec la fidélité et le courage des martyrs », à se conformer à la logique du Christ et non à celle du monde, faite de « pouvoir et de gloire »" - Consistoire : Benoît XVI appelle à servir l’Eglise avec amour, vigueur et clarté (Apic/imedia/bl, Catho.be)