Parmi les 133 cardinaux électeurs convoqués au Vatican pour désigner le successeur de François, quelques profils émergent. – « Nouveau pape : treize cardinaux qui devraient compter pendant le conclave » (Le Monde)
133 cardinaux électeurs entrent en conclave au Vatican, mercredi 7 mai 2025, pour élire le nouveau pape. Carte d’identité, en 10 chiffres, de ce collège largement remanié par le pape François. – « Conclave : qui sont les 133 cardinaux électeurs ? Leurs profils en 10 chiffres clés » (Mikael Corre, La Croix)
133 cardinaux électeurs entrent en conclave au Vatican, mercredi 7 mai 2025, pour élire le nouveau pape. Carte d’identité, en 10 chiffres, de ce collège largement remanié par le pape François. – « Conclave : qui sont les 133 cardinaux électeurs ? Leurs profils en 10 chiffres clés » (Mikael Corre, La Croix)
Réputé au Vatican pour sa discrétion et son expertise, Mgr Mamberti a été créé cardinal en 2015 par François. – « Qui est Dominique Mamberti, le cardinal français qui annoncera l'identité du nouveau pape ? » (François Mathieu, La Libre)
En pointe sur les questions environnementales, ce cardinal péruvien avait su gagner la confiance de François. A 81 ans, trop âgé pour voter au conclave, ce jésuite péruvien respecté sera toutefois une voix écoutée par les électeurs latino-américains. LES GRANDES VOIX DU CONCLAVE. – « Conclave : Pedro Barreto, un défenseur de l’environnement d’Amazonie » (Marguerite de Lasa, La Croix)
À partir de l'expérience des précédents conclaves, imaginons un court scénario de politique-fiction sur ce qui pourrait se jouer ce jeudi au Vatican. – « Conclave : pourquoi ce jeudi pourrait être une journée décisive pour certains favoris » (Bosco d’Otreppe, La Libre)
Deux scrutins sont attendus ce jeudi matin au Vatican, tandis que deux autres auront lieu l’après-midi en cas de verdict négatif, et donc, de fumée noire. – « Deuxième jour du conclave : deux tours de scrutin très attendus ce jeudi matin » (Le Soir avec AFP)
A 21 heures, ce mercredi, la cheminée de la chapelle Sixtine, bien visible depuis la place Saint-Pierre, a émis la traditionnelle fumée noire qui révèle que le premier scrutin pour élire le nouveau pape a été infructueux. – « Conclave : les cardinaux reviennent en deuxième session » (Silvia Benedetti, Le Soir)
Fidèles et curieux auront jeudi les yeux rivés sur la cheminée de la chapelle Sixtine au Vatican, où les cardinaux chargés d’élire le prochain pape sont au deuxième jour d’un conclave très ouvert. – « Deuxième jour du conclave : fumée blanche ou fumée noire ? Les cardinaux votent ce matin » (Jeanne Durieux, Le Figaro)
Pour élire un successeur au pape François, les cardinaux électeurs se réuniront à huis clos dans la chapelle Sixtine à partir du 7 mai. Ancré dans les âges, le rituel du conclave obéit à des règles précises et parfois fastidieuses pour assurer la liberté de choix des cardinaux. – « Dans les coulisses du conclave : le mode d’emploi de l’élection du pape » (Nicolas Senèze, La Croix)
«Extra omnes!», «Tous dehors!», la célèbre formule latine prononcée par Mgr Diego Ravelli, Maître des célébrations liturgiques pontificales a résonné dans la chapelle Sixtine, ce mercredi après-midi, vers 17h45. – « Entre gravité et solennité, le conclave a commencé » (Olivier Bonnel, Vatican News)
À partir de ce 7 mai, les 133 prélats électeurs s’enferment dans la chapelle Sixtine pour élire leur souverain pontife. Sur quel programme ? – « Quel pape sortira du chapeau des cardinaux ? » (Jérôme Cordelier, Le Point)
The Gospel of Matthew inspired an enduring Christian symbol: Jesus passing the keys to Peter. Cardinals are now choosing who will hold the keys — and their power — next. – « What’s at Stake in the Conclave? The Keys of the Kingdom of Heaven. » (Elizabeth Dias, The New York Times)
Trois soutanes sont prêtes, de tailles différentes, pour habiller le nouvel élu. – « "Si je mets mal les boutons, le Pape aura l'air tout tordu quand il apparaîtra au balcon" » (Valérie Dupont, La Libre)
Alors que le conclave pour désigner le nouveau pape vient de débuter, le tailleur historique du Vatican, Gammarelli, n’a toujours pas été contacté. Son rival de toujours, Mancinelli, entend bien tirer parti de la situation... – « Habemus soutane : au Vatican, deux tailleurs se disputent la confection de la tenue du futur pape » (Elvire Emptaz, Madame Figaro)
La Libre a recueilli l'anecdote de cinq personnalités qui ont vécu le Vatican de l'intérieur et en racontent les coulisses. Voici le tour de Caroline Pigozzi qui a tissé des liens privilégiés avec les trois derniers papes. – « "Le pape m'affirmait que le meilleur cognac était arménien. J'étais vexée. J'ai alors appelé Bernard Arnault pour qu'il sorte sa meilleure bouteille" » (Bosco d’Otreppe, La Libre)
Pèlerins, journalistes et touristes ont assisté par milliers à l'entrée en conclave, cette liturgie pluriséculaire sur laquelle ils n'ont désormais plus aucune prise. – « Sur la place Saint-Pierre, un mercredi de l'attente très particulier » (Bosco d’Otreppe, La Libre)
Jan De Volder (57), godsdiensthistoricus aan de KU Leuven, leest de geschiedenis aan de hand van de sterfdatum van pausen. In 1914 is er één gestorven, zegt hij, in 1939 ook. En nu is paus Franciscus ons ontvallen in het voorjaar van 2025. Aan de vooravond van een nieuwe wereldbrand? De Volder sluit het niet uit: ‘We zijn op een heel gevaarlijk moment beland.’ – « ‘Alle pausen hebben kritiek gekregen, maar ik heb nooit een paus gezien die zulke vileine commentaren heeft gekregen als Franciscus’ » (Jan Antonissen, De Morgen)
Papst Franziskus setzte auf schlichte Eleganz, sein Vorgänger auf Opulenz. Was das Oberhaupt der katholischen Kirche trägt, sendet Botschaften, kann sogar Mode und Trends beeinflussen. Woher kommen diese Faszination und Strahlkraft? – « Der Stil der Päpste » (Katharina Pfannkuch, Welt)
Le brouhaha médiatique et les rumeurs ont été importants ces deux dernières semaines autour du Vatican. Cela a déstabilisé certains électeurs et change l'approche que les catholiques ont de la papauté. – « Pour la première fois, les réseaux sociaux ont bousculé le préconclave » (Bosco d’Otreppe, La Libre)
Le conclave qui s'ouvre mercredi à Rome est incertain. Les listes des favoris se multiplient un peu partout, certains noms sont régulièrement cités, mais aucun cardinal ne se présente comme une évidence pour prendre la suite du pape François. – « Qui sera élu au conclave? Voici les huit favoris de La Libre » (Bosco d’Otreppe, La Libre)
Dans 48 heures, 132 hommes en robe s'enfermeront dans la chapelle Sixtine afin d'élire le prochain pape. Tous sont cardinaux et âgés de moins de 80 ans. Mais pourquoi donc les femmes ne peuvent-elles pas participer à ce fameux conclave ? Cette règle est-elle immuable ou pourrait-on envisager de la revoir? Oui il le faut, martèle Christine Pedotti, essayiste, journaliste et rédactrice en chef de la revue Témoignage chrétien (*). – « Pas de femmes au sein du conclave : "C'est physiquement offensant. On pourrait très bien nommer des cardinales en contournant la règle d'airain" »
Le cardinal italien Angelo Becciu, condamné pour fraude financière au Vatican, a annoncé mardi renoncer à participer au conclave à partir du 7 mai pour "obéir à la volonté du pape François", après un début de polémique dans la presse italienne. – « Un cardinal italien condamné pour fraude renonce au conclave: "J'ai décidé d'obéir à la volonté du pape François" » (La Libre)
La mort du 265e successeur de Pierre permet de dresser les premiers traits d’un bilan. Élu à soixante-seize ans après la renonciation de son prédécesseur, alors qu’il faisait partie de la liste finale des potentiels promus lors de l’élection de Benoit XVI, Jorge Mario Bergoglio affrontera dès le départ une opposition vive. On a même parlé de « François-phobie ». Ce pape présente en effet un autre visage de l’Église après le Polonais Jean-Paul II et l’Allemand Benoit XVI, qui s’inscrivaient plutôt dans le courant intransigeant et revendiquaient un catholicisme affirmé. Certains ne furent pas insensibles à cette nouvelle incarnation comme le démontre le film que lui consacre Wim Wenders en 2018, Le Pape François, un homme de paroles.
La principale obédience maçonnique en Belgique est le Grand Orient Belgique, qui compte près de deux siècles d’existence – il a été installé en 1833, trois ans après l’indépendance du pays. Demeuré exclusivement masculin durant près de deux siècles, il s’est en 2020 ouvert à une forme de mixité, s’organisant désormais en un pilier (ou fédération) mixte, un pilier masculin et un pilier féminin, après avoir adopté à une large majorité une réforme de ses statuts et règlements qui entre autres modifications permet désormais que des loges affiliées à cette obédience libérale et adogmatique intègrent des femmes en leur sein.
Le Ramadan, mois de jeûne prescrit dans l’islam, occupe une place centrale dans la pratique religieuse des musulmans. En Europe, son observance dépasse largement le cadre cultuel pour devenir un phénomène social structurant, influençant les rythmes de vie, les interactions et les représentations publiques du fait religieux. Cet article propose une analyse du Ramadan sous l’angle de sa signification religieuse, de son rôle social et des enjeux qu’il soulève dans le contexte européen. À travers une comparaison des taux d’observance en France et en Belgique, il met en lumière les biais méthodologiques qui faussent les analyses quantitatives. Enfin, il s’interroge sur les évolutions contemporaines du jeûne, confronté à des logiques de bien-être, de performance et de reconnaissance sociale, qui redéfinissent en partie sa portée traditionnelle.
Le discours d’investiture du nouveau président américain Donald Trump a défrayé la chronique ces deux dernières semaines. Un des nombreux aspects commentés concerne l’image de soi qu’il a présentée, celle d’un homme sauvé par Dieu pour rendre sa grandeur à l’Amérique. Cette énième déclaration mérite que l’on s’attarde sur les liens entretenus par le 47e président des États-Unis avec la religion. Durant toute la campagne électorale, il s’est en effet présenté comme le porte-parole d’un peuple de Dieu menacé par les forces du mal impies. Les slogans « Jesus is my Savior, Trump is my President », « Made Amercia Godly Again », « God, Guns & Trump » ont fleuri sur casquettes et T-shirts, laissant penser que le « retour du religieux » était définitivement advenu. La linguiste Emmanuelle Danblon et l’historienne Cécile Vanderpelen-Diagre analysent ce phénomène.
À la fin de l’été, un quotidien italien d’opposition au gouvernement de Giorgia Meloni titrait à la « Une » : « Le pape excommunie Salvini et Meloni » (Il Manifesto, 29 août 2024 – Il papa « scomunica » Salvini e Meloni). Matteo Salvini étant le vice-président du Conseil des ministres d’Italie et Giorgia Meloni la présidente de ce Conseil, à savoir l’équivalent d’une Première ministre, l’affirmation pouvait être considérée comme fort grave. Nous tenterons dès lors de comprendre ici ce que le pape François réprouve dans l’actuelle politique italienne et s’il a réellement excommunié les deux plus importantes personnalités du gouvernement d’extrême-droite de la péninsule.