Half a million people are expected to attend the canonisation of Mother Teresa at the Vatican on Sunday, in a ceremony transmitted live to her adopted home of Kolkata and Catholic audiences worldwide. Critics challenge her approach to suffering, views on abortion, and ‘superstitious, black magic’ canonisation — Mother Teresa to become saint amid criticism over miracles and missionaries (Harriet Sherwood, The Guardian)
Le 4 septembre 2016, Mère Teresa (1910-1997), religieuse d’origine albanaise célèbre pour ses actions auprès des pauvres en Inde, sera canonisée : elle sera déclarée « sainte ». A propos : qu’est-ce donc qu’un saint ou une sainte ? Comment le devient-on ? D’où vient cette étrange tradition ? — Comment devient-on un saint ? La canonisation, mode d'emploi (L'Obs)
L'intellectuel égyptien Said Qimni s'ajoute à la longue liste des personnalités égyptiennes accusées et jugées pour "blasphème des religions" et donc "blasphème de l'islam". Dans une conférence où il a expliqué les origines et les causes de la violence islamiste, Said Qimni, connu pour ces critiques acerbes contre l'extrémisme religieux et ses recherches sur les mythes en Islam, est poursuivi par la justice égyptienne suite à une plainte déposée par Khaled Massri, un avocat égyptien qui l'accuse d'"insulte à l'islam et aux compagnons du prophète" suite à ladite conférence — L'intellectuel égyptien Said Qimni accusé de "blasphème des religions" dans sa conférence sur les origines de la violence islamiste (Rihab Boukhayatia, HuffPost Tunisie)
Après plusieurs mois de négociations, le synode de l’Église copte-orthodoxe a annoncé, jeudi 25 août qu’il était sur le point de trouver un accord avec le gouvernement égyptien sur la réglementation de la construction de lieux de culte — En Égypte, vers un accord sur la construction des églises (Blandine Garot, La Croix)
Le festival bruxellois « La Religion dans la Cité », dont nous sommes les initiateurs et qui a été organisé à Flagey en collaboration avec le journal Le Soir et la RTBF, a été une extraordinaire réussite : plusieurs milliers personnes se sont en effet pressées aux huit grands débats, aux douze « Face au public », à la grande conférence et aux deux spectacles qui leur ont été proposés les 29 et 30 janvier.
Tous nos lecteurs n’avaient pu être présents à Bruxelles en janvier dernier. C’est pourquoi nous avons enregistré l’ensemble de nos débats : nous vous les proposerons en vidéo sur notre site, durant les prochaines semaines.
Nous entamons aujourd’hui ce cycle par l’ouverture du festival : les discours de bienvenue de Gilles Ledure et Jean-Philippe Schreiber, l’intervention musicale de Mousta Largo et, surtout, le débat intitulé « Quel est ce 'retour' du religieux aujourd’hui ? », avec Abdennour Bidar, Olivier Roy et Delphine Horvilleur (accessible à partir de 13'38).
Nous poursuivons ici la rediffusion des débats enregistrés lors du festival « La Religion dans la Cité » que nous avons en janvier dernier organisé à Flagey en collaboration avec le journal Le Soir et la RTBF. Après un lecture du Traité sur la Tolérance par la comédienne Valérie Bauchau, le deuxième grand débat, intitulé « La Peur de l'Islam, la Peur dans l'Islam », avec Abdelmajid Charfi, Gilbert Achcar et Radouane Attiya est accessible ici à partir de 11'20.
Nous poursuivons ici la rediffusion des débats enregistrés lors du festival « La Religion dans la Cité » que nous avons en janvier dernier organisé à Flagey en collaboration avec le journal Le Soir et la RTBF. Après un lecture de son récit autobiographique par le comédien et réalisateur Ismaël Saidi, le troisième grand débat, intitulé "La Religion dans la Ville", avec comme intervenants Tariq Ramadan, Nadia Geerts et Hervé Hasquin, est accessible ici à partir de 12'05.
Nous clôturons ici, avant les vacances d'ORELA, la première série de rediffusions des débats enregistrés lors du festival « La Religion dans la Cité » que nous avons en janvier dernier organisé à Flagey en collaboration avec le journal Le Soir et la RTBF. Il s'agit du Face à Face entre Mgr Jozef De Kesel, primat de Belgique, et Henri Bartholomeeusen, président du Centre d'Action laïque, un débat animé par les journalistes Béatrice Delvaux et Jean-Pierre Jacqmin.
Une quarantaine de pays dans le monde punissent « l’offense aux religions » par des peines allant de l’amende à la mort en passant par la prison selon les rédacteurs du rapport Freedom of Thought publié en 2013. Parce qu’ils identifient le fait de l’athéisme à une apostasie contre nature ou à un blasphème, les Etats à référence musulmane sont particulièrement concernés. Cet article vise à appréhender le phénomène récent d’une expression de l’athéisme dans les sociétés majoritairement musulmanes, et les moyens de lutte conjointe qu’y mènent les autorités politiques et religieuses.
A la question « Pour vous, Jésus, c’est… », la comédienne Sara Giraudeau répond : « N’ayant pas été élevée dans la religion, il me reste avant tout l’image d’un bébé entouré de ses parents. Une image de naissance, d’espoir » (Le Pèlerin, 5 mai 2016). Intitulé « La Sainte Famille », le colloque du CIERL qui s’est tenu à Rome, les 19 et 20 mai 2016, avait pour objet la sexualité, la filiation et la parentalité selon et dans l’Eglise catholique. S’il est impossible de rendre compte de la richesse de toutes les interventions, quelques lignes de force se dégagent.
La spiritualité est une méditation toujours recommencée de cette ancienne et éternelle devise attribuée à un sage chinois : « Le miracle n’est pas de marcher sur l’eau, mais de marcher sur la Terre. » La manière dont l’expérience spirituelle s’enracine dans un environnement, un biotope, un paysage pour le comprendre et le « prolonger » est donc essentielle. La chartreuse de Saint-Hugon qu’occupe aujourd’hui l’institut Karma Ling en est une très singulière illustration — Ancienne chartreuse édifiée au XIIe siècle, le domaine d’Avalon est aujourd’hui un « écosite sacré » fondé par la communauté bouddhique du Shanga Rimay. L'institut Karma Ling (Jean-Philippe de Tonnac, Le Monde des Religions)
Les sanctions à l'égard des personnes coupables d'outrage envers la religion et la monarchie, d'incitation à la contestation de l'intégrité territoriale du Maroc ou à la discrimination ont été modifiées. En vertu de la loi N° 73.15, quiconque porte outrage à la religion musulmane, à la monarchie, ou incite à la contestation de l'intégrité territoriale du royaume sera puni d'emprisonnement de six mois à deux ans et d'une amende de 20.000 à 200.000 dirhams, ou l'une de ces deux peines seulement — Nouvelles peines contre les coupables d'outrage à la religion et la monarchie (Huffington Post Maghreb)
ORELA est en vacances jusqu'au mardi 16 août !
Nous reviendrions à cette date avec de nouvelles analyses, la perspective de nouveaux outils pour nos utilisateurs, et la poursuite des rediffusions des débats de notre événement de janvier dernier : « La Religion dans la Cité ».
Pour le reste, ORELA continuera, six jours par semaine, à vous proposer une revue de presse actualisée sur le fait religieux et les convictions. Une fois par semaine, suivant l'actualité, il vous adressera (si vous avez souscrit à notre Newsletter en vous abonnant ici) un message annonçant la mise en ligne d'une nouvelle analyse rédigée par l'un des experts de notre Centre ou de notre réseau international.
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